Comment retrouver la forme à partir de 45 ans (poids, énergie) ?
Par Patrick FERRER SOLER, Coach Forme & Nutrition
Senior, vous avez dit Senior ?
Comment peut-on utiliser un mot unique pour désigner des gens si différents ?!
Tout le monde au même régime ? C’est impossible ! Voyons cela en détail.
Avant d’aller plus loin, je me présente : Je m’appelle Patrick et j’ai 73 ans. Quand j’avais 58 ans, j’ai pris du poids, 25 kilos suite à l’arrêt de mon entreprise. Un an après, j’ai décidé de perdre ces kilos en trop, grâce à un ami qui m’a aidé à ne pas lâcher. J’ai perdu 23 kilos et je ne les ai jamais repris définitivement.
Vers 65 ans, je me sentais moins en forme, fatigué du matin au soir. Mon ami Frédéric m’a à nouveau guidé pour retrouver un bon tonus et me sentir bien dans mon corps.
Aujourd’hui, c’est moi qui aide les personnes comme vous, à équilibrer leur poids et à garder la meilleure forme possible.
J’ai intégré l’IA (Intelligence Artificielle) dans mes programmes, pour les rendre encore plus efficaces !
J’aime partager mon expérience avec des gens qui me parlent de leur parcours. Je ne suis pas un journaliste ou blogueur dont on lit les articles pour s’informer ; je vous accompagne pour du concret, du résultat. Si vous êtes motivé pour trouver une solution durable, dialoguons maintenant : écrivez un « Bonjour 🙂 » dans la fenêtre de Chat en bas de cette page, je vous répondrais immédiatement si je le peux.
Calculez votre perte de poids
Quel âge avez-vous ?
45 à 55 ans
On est considéré comme senior dans l’entreprise alors qu’il nous reste 10 ou 20 ans à travailler avant la retraite. J’ai entendu des salariés d’une vingtaine d’années, estimer l’âge d’un vieux vers 35 ans.
Heureusement, à cet âge, on est encore jeune et généralement en pleine forme, sans problème de santé.
Le problème est la gestion des excès. Les quadras et quinquas salariés sont en compétition avec les jeunes collègues ; les indépendants se disent qu’à 45 ans, c’est la dernière ligne droite, le sprint final vers la réussite d’une vie professionnelle.
Du coup, on a tendance à forcer sur le rythme de travail, les déséquilibres alimentaires (trop festif, trop frugal). On ne se rend pas compte que l’on puise dans notre capital bien-être. C’est à cet âge que j’ai commencé à prendre des kilos, en repas d’affaires, en sorties le soir, en période de chômage.
Les besoins et objectif à cet âge sont : Booster le corps pour tenir la distance et préserver le capital physiologique au maximum.
À partir de 55 ans, les premiers signes de fatigue récurrente arrivent ; on a plus de mal se lever le matin, on ressent la fatigue vers 17 h, comme une lumière qu’on éteint d’un coup ; on est vidé !
Les 2 kilos ou 3 kilos qu’on a pris pendant les fêtes ne partent pas aussi facilement qu’avant, bizarre !
Notre médecin traitant commence à nous parler de cholestérol, glycémie, acide urique, de tension artérielle ; il ajoute parfois l’expression « c’est limite » !
On prend conscience que l’on a plus vingt ans. On se dit « il faudrait bien que je fasse quelque chose ! », mais on ne fait rien.
Les besoins et objectif à cet âge sont : Perdre des kilos, supprimer la fatigue, refaire le plein d’énergie.
55 ans à 65 ans
Passé 55 ans, on est clairement qualifié de senior par la société. AMELI nous envoie des informations et tests de prévention ciblés. On participe de moins en moins aux sorties entre collègues, volontairement ou parce qu’on y est moins invité.
Heureusement, à cet âge, notre médecin nous dit qu’on est encore jeune et pour beaucoup, sans problème de santé majeur.
Le problème est l’absence de motivation. Les quinquas et sexagénaire, salariés ou fraichement retraités, sont déstabilisés et pleins de doutes, sur leur vie professionnelle, leur vie post-travail. Certains se disent “finis” et n’ont pas la motivation pour entamer un régime ou se mettre au sport.
D’ailleurs, se “mettre au sport” quand on a été sédentaire toute sa vie, c’est une blague ! Mais, j’ai la solution pour avoir les bénéfices physiques du sport, sans faire de sport ; je vous en parlerai de vive voix ou par chat.
Vers 65 ans, les premiers petits soucis peuvent arriver : la vue, l’audition, gênes nocturnes. Le matin, on a besoin de plus de temps pour démarrer la journée. Chez certains, c’est le coup de barre après le déjeuner du midi.
Les 10 kilos accumulés depuis les dernières années sont bien installés et ne partent plus !
Les besoins et objectif à cet âge sont : Perdre des kilos, réduire la fatigue, compenser les pertes de tonus.
65 ans à 75 ans
Cette période se présente souvent comme “la continuité des années précédentes… En pire ! “. Et ceux qui n’ont pas réagi avant subissent encore plus ce phénomène.
Heureusement, à cet âge, notre “Cher” médecin traitant nous dit « les constantes sont bonnes » ; tu parles !
Le problème est le manque d’adaptation. Ce corps “étranger”, que l’on ne reconnait plus ou qu’on refuse d’accepter, ne répond plus correctement à nos habitudes de vie et d’alimentation.
Du coup, on cherche des solutions miracles pour retrouver la forme de nos 40 ans. Et là, tout y passe, y compris le portefeuille !
1. Le régime ou le produit miracle : Perdre du ventre en une semaine.
Choux, Spiruline, cétogène, keto, etc. Ça s’en va (ou pas) et ça revient !
Certains me demandent « comment perdre des cuisses en 1 jour ? » ; je réponds que je ne suis pas magicien, je suis un professionnel sérieux !
Il n’est pas possible de perdre du ventre en une semaine de manière significative et durable. La perte de graisse abdominale nécessite généralement un changement de mode de vie à long terme, comprenant une alimentation saine et équilibrée et des exercices physiques réguliers (pas du sport).
2. L’appareil miracle : Retrouver la forme et ses abdos en 10 jours.
Du simple gadget à 10 euros aux appareils gérés via une application mobile coûteuse, on y croit et ça marche… Quand on a 20 ans !
Passé un certain âge, utiliser un appareil ne suffit plus. Il faut un ensemble d’actions pour que les résultats soient réels et durables.
5. Le repas en kit : Perdre du poids sans sortir de chez soi.
Programme minceur Comme j’aime, Box régime Dietbon ou Véro, autant de concepts qui fonctionnent pour génération Y et Z (nés après 1994) et plutôt citadins.
Quand on a connu la convivialité, s’asseoir à une table pour manger, seul ou en famille, quand on n’est plus actif ou sédentaire, faire ses courses est primordial. Et ces programmes prennent en compte uniquement l’aspect “repas et perte de poids” ; ils ne traitent pas les besoins de remise en forme et de bien-être.
4. Le nutritionniste : Retrouver un poids de forme idéal.
Méthodes de médecins nutritionnistes connus ou inconnus, elles ont presque toutes des bases solides et peuvent être efficaces.
Le défaut des médecins, comme notre généraliste, c’est l’absence de réalisme, c’est la théorisation du “sujet idéal” ; on les voit souvent décortiquer des étiquettes de produits industriels pour des magazines ou émissions TV.
Mais, désolé, je ne fais pas mes courses avec une loupe ! Et je n’ai pas les moyens de dépenser 100 euros par semaine en produits frais et bio au marché !
Je ne suis pas nutritionniste et c’est tant mieux pour vous !
Je suis votre alter ego : j’ai eu 45 ans, j’ai eu 65 ans, je suis en route vers les 75 ans. Je sais parfaitement ce que vous pouvez ressentir dans votre corps et dans votre état d’esprit.
Même si je ne suis pas vous, si je n’ai pas votre vécu, je peux très bien comprendre vos difficultés et vos attentes.
Contrairement à un nutritionniste, je ne vous forcerai pas à faire du sport ni à réduire les portions de vos aliments préférés. Je ne vous imposerai pas l’abstinence (sauf avis médical ou traitement contraire).
Mon dernier repas forme et bien-être !
Je déteste les régimes et j’adore manger, à table, entre amis ou en couple. J’aime les produits de la mer et j’en profite sans complexe ni crainte de prendre du poids. En plus, les huitres, c’est zéro calorie, ou presque !
Et oui, je mange du pain, de la crème, des crevettes, du poisson, je bois du vin, avec modération. Je ne ressens aucune frustration ni sensation de faim. Je prends du plaisir à partager un repas normal avec mes proches, au restaurant ou chez moi.
Et vous, quels sont vos plats préférés ?
- La choucroute ?
- La viande rouge ?
- La fondue ?
- Les pizzas ?
- Les gâteaux au chocolat ?
Avec moi, vous pourrez vivre normalement, retrouver une bonne forme et conserver un bien-être naturel.
Sylvia
62 ans – Retraitée – Objectif : contrôle de poids
Mon rôle, c’est de faire en sorte que vous arriviez à appliquer ces principes, sans difficultés, avec plaisir et parfois même, sans vous en rendre compte.
Je sais comment vous garantir un apport optimal, que vous soyez un jeune senior ou un senior+
Votre objectif ciblé
Calculez votre perte de poids
Vous avez sûrement essayé plusieurs régimes, vous avez voulu faire du sport, arrêter les sucreries ou la bière ; rien n’a duré et pourtant vous aviez la meilleure volonté du monde. Il vous a manqué une chose : le réalisme et la motivation !
Souvent, on veut “perdre vite”, mais on ne se pose jamais la question « en combien de temps j’ai pris mes kilos ? ».
La motivation, c’est le processus psychologique responsable du déclenchement, du maintien, de l’entretien ou de la cessation d’une conduite. C’est ce qui fait que vous allez démarrer un programme minceur ou remise en forme ET le suivre jusqu’au bout ET le continuer en phase de routine quotidienne.
Faites le calcul en répondant aux questions ci-dessous pour évaluer vos chances de réussir votre programme.
Mon programme sur-mesure
aidé par l’IA (Intelligence Artificielle)
J’ai créé une méthode unique qui s’adapte à tous les seniors. Je m’intéresse à la personne, pas aux produits que je vais lui vendre. Je veux savoir quel senior vous êtes pour que chaque élément, chaque action du programme soit efficace et donne des résultats durables.
Mon programme progressif convient pour une gestion de poids (3 kg, 5 kg ou plus), une remise en forme ou une recherche de bien-être, quel que soit l’âge ou la condition physique ; il va agir sur tout le corps, métabolisme et muscles. Ma méthode est basée sur la réadaptation durable des habitudes, tant sur l’alimentation que l’activité physique modérée.
Je vous accompagne sur une période de 6 jours minimum, qui peut être prolongé selon l’objectif, le surpoids, la nature et le temps qu’il a fallu pour prendre des kilos ou s’épuiser (burn-out).
Selon le programme choisi, la période peut correspondre à un jour, une semaine ou un mois. La période est déterminée avec vous, avant le démarrage et en fonction de votre objectif.
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Parlez-moi de vous, de ce que vous voulez faire et laissez-moi vous présenter mon programme, mes prestations, mes conditions (la première étant votre motivation). Si vous êtes d’accord, nous commencerons immédiatement pour obtenir des résultats plus rapidement. Si vous n’êtes pas d’accord, je détruirai vos coordonnées et toutes les informations personnelles que vous m’aurez confié selon ma charte de confiance et de confidentialité, car je respecte votre vie privée.
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Valable jusqu’au 20 janvier 2025
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